Libellule déprimée (La)

Libellula depressa Linnaeus, 1758

Classe : Insecta Ordre : Odonata Famille : Libellulidae Genre : Libellula
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  • 439
    observations

  • 74
    communes

  • 45
    observateurs
    1
    organisme

  • Première observation
    1995

  • Dernière observation
    2023
Anglio Grégory - Baffie Philippe - Bertrand Nicolas - Breton François - Cbe - Chenard Michaël - Coenders Sylvie - Cognet Christophe - Costes Geraldine - Cuenin Christophe - Deffrennes Benoit - Descamps Régis - Descaves Bruno - Descaves Sandrine - Dilhan Pierre - Dissac Yann - Dugueperoux Franck - Fabre Jean-marie - Fleith Patrick - Fort Clément - Garlenc Jean-christian - Gineste Benoit - Hache Sébastien - Hennebaut David - Henry Isabelle - Hentz Jean-laurent - Huleux G - Jamier Myriam - Jendoubi Samy - Karczewski Gaël - Lucas Philippe - Malafosse Isabelle - Malafosse Jean-pierre - Meynet Laurie - Molto Jerome - Nappee Christian - Parayre Christophe - Pianalto Sylvie - Pnc - Quillard Valerie - Rombaut Cyril - Seon Jean - Soliveres Jordi - Sulmont Emeric - Vernier Rémi
  • Parc National des Cévennes
    Participation à 437 Observations
    Part d'aide à la prospection : 99.54 %

    Fiche organisme

Informations espèce

De taille moyenne, la Libellule déprimée se caractérise par un abdomen particulièrement large et aplati d’où son nom, bleu pâle chez les mâles, et verdâtre à jaune chez les femelles. Le thorax est brun sombre et la base des quatre ailes présente une grande tache noire bordée de blanc sur la bordure postérieure. ferme.
Espèce pionnière, la Libellule déprimée affectionne les plans d’eau stagnante même dépourvus de végétation. Les larves vivent dans les fonds et passent l’hiver enfouies, en cas d’assèchement. La colonisation de plan d’eau peut aussi se faire par le déplacement des larves sur la terre ferme. Les mâles sont territoriaux et défendent farouchement leur pièce d’eau des intrus. Commune, on retrouve cette espèce sur tous les massifs du PNC sur les secteurs comportant plans d’eau stagnante ou à faible courant (lavognes, tourbières, gourgues, bassins etc…). Très mobiles, les adultes sont souvent observés à l'écart de leur milieu d’émergence, et se posent volontiers sur des tiges ou des buissons pour se chauffer au soleil. La libellule déprimée s’observe de mai à septembre par des journées ensoleillées. (03/06/2000 commune de Chambon ; 25/08/2017 commune du Pont de Mont vert sud Mont -lozère)
Non renseigné pour le moment
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Platetrum depressum (Linnaeus, 1758)

Observations par classes d'altitudes

Observations mensuelles