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    observations

  • 58
    communes

  • 146
    observateurs
    1
    organisme

  • Première observation
    1971

  • Dernière observation
    2024
Alcaix Gérard - Anglio Gregory - Ausset Alain - Balsan Raphaël - Barrataud Michel - Barraud Remy - Becquart Claire - Benoist Georges - Benoit Mariane - Berbon Philippe - Bernier Bernard - Bertrand Nicolas - Besnard Sylvie - Bonnet Jean - Bonnet Roger - Boyer Jerome - Breton - Brianceau Lucille - Bruce Nicolas - Brun Olivier - Buchert Julien - Buronfosse Aymeric - Bussiere Jérome - Casse Maël - Citoleux Jacques - Coenders Sylvie - Constant Guillaume - Costes Geraldine - Cuenin Christophe - Cuénin Christophe - De Kermabon Jean - Debussche Max - Deffrennes Benoit - Delvare Gérard - Descamps Régis - Descaves Bruno - Descaves Sandrine - Destre Rémi - Devevey Caroline - Digier Marion - Dugueperoux Franck - Duvallet Gerard - Fabre Jean-marie - Feutry Sébastien - Florent Lacoste - Fonderflick Jocelyn - Forge Sandrine - Fort Clément - Foubert Dominique - Franck Duguépéroux - Frazzoni Damien - Galouchi Rachida - Garlenc Jean-christian - Garnier Gilles - Garnier Jean - Garrevoet Theo - Gineste Benoit - Grandadam Jimmy - Granier Nicolas - Gueniot Pierre - Guillosson Elisabeth - Guillosson Jean-yves - Guillosson Tristan - Guyot Emile - Hache Sébastien - Hebrard Jp - Hennebaut David - Herault Emilien - Herrera Antoine - Hopkins Frantz - Hugonnet Serge - Isabelle Malafosse - Jamier Myriam - Jean Bonnet - Jonard Aymeric - Jys Michel - Karczewski Gaël - Kocher François - Lacoste Florent - Lacroix André - Lafon Nicolas - Lamarche Béatrice - Laniece Manon - Lebeau Irène - Lefebvre Siméon - Legros Régis - Lemaitre Olivier - Lemonnier Michèle - Lucas Philippe - Maccagno Yves - Malafosse Isabelle - Malafosse Jean-pierre - Maldès Jean-michel - Malvaud Frédéric - Marie Julien - Martin Patrice - Mauvais M - Meeus Guido - Michel Bruno - Molto Jerome - Mossot Michèle - Nappee Christian - Noel Pierre - Onf Agent - Parc National Cévennes - Parchoux Franck - Passet Thierry - Patrice Martin - Petermann Pierre - Peyo D'andurain - Pianalto Sylvie - Picq Hervé - Pierkot Bernard - Pinna Jean-louis - Pistelli Janine - Plombat Jean-victor - Poisson Francis - Ponel Philippe - Prasil Vincent - Quillard Valerie - Ravel Pascal - Redon Maxime - Ricau Bernard - Richardier Yves - Riffard Sigrid - Roland Jaffuel - Rombaut Cyril - Rousset Christian - Sagnard Emmanuelle - Saran Hervé - Scherrer Richard - Selosse Lucie - Seon Jean - Streito Jean-claude - Sulmont Emeric - Szpajdel Christophe - Talhoet Samuel - Thelot Jean-pierre - Thomas Nathalie - Timonoz T - Tisne Jean-michel - Torreilles Gérard - Tyssandier Manon - Verdier P - Warnotte Claude - Zimmerman Samuel
  • Parc National des Cévennes
    Participation à 694 Observations
    Part d'aide à la prospection : 94.55 %

    Fiche organisme

Informations espèce

La Huppe fasciée est un oiseau courant, de toute beauté et facile à observer, en effet, son chant et sa silhouette sont incomparables. Elle fait donc partie des oiseaux les mieux documentés sur le territoire.
Répandue de l’Afrique à l’Asie, la Huppe fasciée, en Europe, est principalement une estivante nicheuse migratrice. Une fraction de sa population européenne hiverne dans le bassin méditerranéen, et quasi régulièrement maintenant sur le littoral languedocien, et en Afrique du Nord, mais la plupart s’en vont passer l’hiver en Afrique subsaharienne. Le retour de cette espèce dans le territoire du PNC est donc précoce et les premiers oiseaux apparaissent dès la fin février. Date précoce le 20 février 1990 à Hures et le 26 février 1994 à Saint-Pierre-des-Tripiers, toutes deux sur le Causse Méjean. Mais c’est dans le courant du mois de mars, et surtout à partir de la deuxième décade, parfois dans des conditions météorologiques encore très hivernales sur les hauts plateaux, que la Huppe manifeste une présence qui devient ensuite régulière. Les tout premiers chants sont décelés dans les derniers jours de mars mais ne deviennent réguliers et assidus qu’à partir de la deuxième quinzaine d’avril. Tandis que les reproducteurs locaux se cantonnent, un accouplement signalé au plus tôt un 26 avril, des oiseaux en halte migratoire continuent sans doute de passer durant ce mois si l’on en juge par le nombre de contacts sans suite signalés courant avril. La Huppe affectionne les paysages ouverts à semi-ouverts, avec des haies, des tas de cailloux comme les fameux clapas des causses et autres murettes de pierres, et la présence du bétail semble être un atout pour fixer les couples reproducteurs. Avec la date la plus précoce d’occupation d’un nid un 21 avril, mai et juin surtout sont les mois où la reproduction bat son plein et de nombreux nourrissages au nid sont rapportés durant cette période : 8 occurrences en mai, 27 en juin et encore 3 en juillet. Un couple nourrissant au nid est encore signalé au 07 juillet, en 2017 au Pont-de- 105 Montvert et même le 15 juillet, en 2021 à Saint-André-de-Majencoules mais il s’agissait là d’une deuxième nichée. Les premiers envols ont lieu en juin, dès le 07 juin 2014 près de Corbès en basses Cévennes, et le dernier chant est daté du 03 juillet, en 1984 à Mandagout. Des familles, adultes accompagnés de juvéniles volants, sont notées dès la mi-juin mais surtout en juillet et jusqu’à mi-août. La reproduction est cependant peu documentée en ce qui concerne la taille des nichées : plusieurs couples avec 2 ou 3 juvéniles sont mentionnés et une famille avec un maximum de 4 jeunes juste volants est notée le 20 août 2021 à Vébron. La Huppe niche dans des cavités, aussi bien dans les arbres creux que dans les murettes de pierres sèches, les clapas et les murs d’habitation. Et pour l’anecdote, une nichée de 3 juvéniles s’envole d’une ruche-tronc le 07 juillet 2017 à Saint-Maurice-de-Ventalon. En août, les données deviennent plus sporadiques et les départs se confondent avec un passage postnuptial relativement discret jusqu’à fin septembre. Quelques rares présences tardives sont signalées : le 1er octobre, en 2017 à Saint-Sauveur-Camprieu, le 27 octobre, en 2006 à Valleraugue et même le 14 novembre, en 2017 au col du Rey (commune de Cans-et-Cévennes). Une donnée hivernale exceptionnelle est rapportée, en date du 22 décembre 2020 à 1160 m sur le Causse Méjean (commune de Vébron). Cette donnée peut surprendre par sa localisation et son altitude mais il est probable que les cas d’hivernage aient tendance à se multiplier dans les années à venir, au moins sur le piémont des Cévennes. En effet, depuis les années 2000, la Huppe montre une nette tendance à hiverner sur le littoral et les plaines languedociennes.
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Pas de synonymes pour ce taxon

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