• 875
    observations

  • 57
    communes

  • 60
    observateurs

  • Première observation
    1973

  • Dernière observation
    2023
Barraud Remy - Baty Stéphane - Belier Laurent - Benoit Mariane - Bernier Bernard - Bertrand Nicolas - Boyer Jerome - Bruc Yves - Bruce Nicolas - Buchert Julien - Bélier Laurent - Costes Geraldine - Cuénin Christophe - David Pierre-antoine - Deffrennes Benoit - Descamps Régis - Descaves Bruno - Descaves Sandrine - Dissac Yann - Dugueperoux Franck - Fivel Agathe - Florent Lacoste - Fonderflick Jocelyn - Gautier Grégoire - Gineste Benoit - Giral Cedric - Grandadam Jimmy - Guerin Hubert - Guillosson Jean-yves - Guitton Aude - Hennebaut David - Herault Emilien - Herrera Antoine - Jamier Myriam - Jean-pierre Malafosse - Karczewski Gaël - Laniece Manon - Legros Régis - Lucas Philippe - Malafosse Isabelle - Malafosse Jean-pierre - Meynet Laurie - Molto Jerome - Moschetti Maily - Palmer Eric - Picq Hervé - Quillard Valerie - Ricau Bernard - Roland Jaffuel - Rombaut Cyril - Rousteau Typhaine - Selosse Lucie - Soliveres Jordi - Sulmont Emeric - Taris Jean Paul - Tisne Jean-michel - Tyssandier Manon - Valerie Quillard - Vernier Rémi - Zimmerman Samuel

Informations sur l'espèce

Le Roitelet triple bandeau est peu différent de son cousin le Roitelet huppé. Il se démarque toutefois par un large sourcil blanc surmonté d’un net trait noir, rendant les motifs de la tête très marqués. Son corps rondelet au dos plus vert et au dessous plus pâle possède une petite tête et laisse apparaître un bec d’insectivore, très fin et pointu. La crête est orangée pour le mâle et jaune pour la femelle. Le chant étant le meilleur critère pour différencier les deux espèces.
La répartition du Roitelet triple bandeau sur le Parc national des Cévennes est assez régulière sur l’ensemble du territoire. Cette espèce est présente en vallées Cévenoles, sur le Mont-Aigoual, sur le Mont-Lozère, la forêt du Bougès et les Gorges du Tarn et de la Jonte. Il semble bien moins présent dans les forêts de résineux des Causses. Dans la zone optimale d’adhésion on le trouve parmi les boisements de feuillus, ripisylves et jusque dans les parcs et jardins. Il est noté en période hivernale à des altitudes assez basses ( 21/02/2019 – ST Julien du Nef ) à 205 m d’altitude, plus régulièrement dans les Gorges du Tarn sur la commune du Rozier (14/06/2017 ), sur le Mont-Aigoual à l’altitude maximum de 1507 m et sur le Mont-Lozère à l’altitude extrême de 1658 m sous le Pic Cassini ( 04/05/2015 ). Plusieurs mentions le signalent également sur le Causse de Sauveterre ( les Cheyrouses – 20/04/2014 ).
Non renseigné pour le moment
Non renseignée pour le moment
Regulus ignicapillus (Temminck, 1820) | Sylvia ignicapilla Temminck, 1820

Observations par classes d'altitudes

Observations mensuelles