Chargement...

  • 101
    observations

  • 29
    communes

  • 23
    observateurs
    4
    organismes

  • Première observation
    1986

  • Dernière observation
    2024
Bassi Isabelle - Boyer Jerome - Brand Christelle - Cockle Anya - Costes Geraldine - Darnis Thomas - Deffrennes Benoit - Descaves Bruno - Destre Rémi - Disca Thierry - Fonderflick Jocelyn - Gattus Jean_christophe - Herault Emilien - Jamier Myriam - Malafosse Isabelle - Malafosse Jean-pierre - Malgouyre Frederic - Molto Jerome - Popelard Jean-bernard - Rufray Vincent - Sane Fabien - Seon Jean - Vinet Olivier
  • Parc National des Cévennes
    Participation à 97 Observations
    Part d'aide à la prospection : 96.04 %

    Fiche organisme

  • COPAGE
    Participation à 11 Observations
    Part d'aide à la prospection : 10.89 %

    Fiche organisme

  • GCLR
    Participation à 11 Observations
    Part d'aide à la prospection : 10.89 %

    Fiche organisme

  • Syndicat mixte des Hautes Vallées Cévenoles
    Participation à 11 Observations
    Part d'aide à la prospection : 10.89 %

    Fiche organisme

Informations espèce

La plus petite des noctules, avec un poids moyen de 15 g, la Noctule de Leisler (38-47 mm ; Poids : 8-23 g) n'en est pas moins la plus commune dans notre région. Sa morphologie est très semblable à celle de ses deux cousines : un museau noir, large et trapu, des oreilles courtes et épaisses avec un tragus court et arrondi, un pelage brun tirant sur le roux et un dessous de l’aile poilu jusqu’au niveau du coude. En vol, elle est facilement repérable à ses cris secs, bien audibles, mais qui peuvent être confondus avec ceux de la Noctule commune. Exclusivement arboricole, elle est connue pour occuper de vieux arbres creux comme gîtes diurnes et gîtes de maternité.
Sur le territoire du Parc national des Cévennes, la Noctule de Leisler est très forestière et semble rechercher des habitats densément boisés. Elle est fréquemment capturée en ripisylve et tous types de milieux forestiers semblent lui convenir puisqu'elle est présente, en activité de chasse, des plus basses altitudes dans les vallées du piémont cévenol jusque sur les derniers boisements du Mont Lozère. Elle est ainsi bien présente autour du Mont Lozère, dans la vallée de la Jonte et tout autour du massif de l'Aigoual. Par contre, elle semble très nettement éviter les secteurs plus secs et steppiques des Causses mais ne craint pas les ambiances chaudes, voire xériques, des hautes vallées cévenoles boisées. Aucun gîte de mise-bas n’a été jusque-là découvert mais des individus en activité de reproduction sont régulièrement contactés. Les premiers contacts sont signalés à partir de la dernière décade de mai et les tout derniers dans le courant du mois d'octobre, voire à la fin de ce mois dans les vallées cévenoles aux plus basses altitudes. À ce jour, il n’existe aucune donnée hivernale de cette espèce en cavité souterraine.
Pelouses | Prairies
Non renseigné pour le moment
Nyctalus dasykarpos | Nyctalus pachygnatus | Vespertilio leisleri Kuhl, 1817

Observations par classes d'altitudes

Observations mensuelles