• 929
    observations

  • 57
    communes

  • 82
    observateurs

  • Première observation
    1973

  • Dernière observation
    2023
Alcaix Gérard - Ambroise Lucie - Anglio Gregory - Barraud Remy - Baty Stéphane - Beaury Pascal - Bernardi Catherine - Bertrand Nicolas - Bonnel Celine - Boyer Jerome - Bruc Yves - Bruce Nicolas - Bélier Laurent - Caroff Hervé - Chautard Michel - Coenders Sylvie - Commandre Bernard - Costes Geraldine - Cuenin Christophe - Cuénin Christophe - Deffrennes Benoit - Descamps Régis - Descaves Sandrine - Devevey Caroline - Dissac Yann - Dugueperoux Franck - Fivel Agathe - Fonderflick Jocelyn - Forestier Thibault - Fort Clément - Franck Duguépéroux - Frazzoni Damien - Garlenc Jean-christian - Gautier Grégoire - Gineste Benoit - Giraud Sophie - Grandadam Jimmy - Guerin Hubert - Guillosson Jean-yves - Guitton Aude - Hache Sébastien - Hennebaut David - Herault Emilien - Herrera Antoine - Jamier Myriam - Jys Michel - Karczewski Gaël - Lamarche Béatrice - Laniece Manon - Laurent Ghislaine - Lucas Philippe - Malafosse Isabelle - Malafosse Jean-pierre - Marie Julien - Martin Patrice - Melet Didier - Meynet Laurie - Molto Jerome - Moschetti Maily - Nappee Christian - Parchoux Franck - Peyo D'andurain - Picq Hervé - Pinna Jean-louis - Quillard Valerie - Ricau Bernard - Rival Andre - Roland Jaffuel - Rombaut Cyril - Rousset Christian - Rousteau Typhaine - Sagnard Emmanuelle - Selosse Lucie - Soliveres Jordi - Sulmont Emeric - Tabone Laure - Taris Jean Paul - Tisne Jean-michel - Tremauville Y - Tyssandier Manon - Vernier Rémi - Zimmerman Samuel

Informations sur l'espèce

Le Geai des chênes appartient à la famille des corvidés. Son plumage caractéristique est fauve rosé marqué de bleu sur les couvertures alaires et strié de noir et de blanc. La tâche bleu pâle sur les ailes et le croupion blanc sont bien visibles en vol. Les deux sexes sont identiques. Il n’est pas rare d’observer des groupes de quatre à six oiseaux se déplaçant ensemble. Le Geai des chênes possède un cri rauque et perçant et c’est aussi un imitateur hors pair des chants et des cris d’autres espèces d’oiseaux.
Très lié au milieu forestier, il est présent à toutes les altitudes sur l’ensemble du territoire du Parc national des Cévennes. On l’observe aussi bien dans les Gorges du Tarn, les Hautes et Basses Cévennes, le Bougès, les massifs de l’Aigoual et du Mont-Lozère, mais il est peu présent sur les plateaux du Causse Méjean. Cet oiseau a une nette préférence pour la chênaie dont il est friand de glands à l’automne, il fréquente également les pessières, les pinèdes, la hêtraie, la châtaigneraie et des milieux plus ouverts comme les parcs et les vergers. Cette espèce grégaire à un régime alimentaire omnivore composé de baies, fruits, noisettes, mais aussi d’insectes, lézards, œufs et oisillons. Malgré son omniprésence l’espèce n’attire pas d’attentions particulières de la part des observateurs et la phénologie de sa reproduction localement est peu renseignée.
Non renseigné pour le moment
Non renseignée pour le moment
Corvus glandarius Linnaeus, 1758 | Garrulus glandarius corsicanus Laubman, 1912 | Garrulus glandarius glandarius (Linnaeus, 1758) | Garrulus glandarius rufitergum Hartret, 1903

Observations par classes d'altitudes

Observations mensuelles