• 994
    observations

  • 36
    communes

  • 70
    observateurs

  • Première observation
    1974

  • Dernière observation
    2023
Ambroise Lucie - Baconnet Mathieu - Barraud Remy - Baty Stéphane - Benoit Mariane - Bernier Bernard - Bertrand Nicolas - Bonnet Jean - Bonnet Roger - Boyer Jerome - Brien Yves - Chenard Michaël - Coenders Sylvie - Costes Geraldine - Cuenin Christophe - Cuénin Christophe - Deffrennes Benoit - Descamps Régis - Descaves Bruno - Descaves Sandrine - Devevey Caroline - Dissac Yann - Dugueperoux Franck - Florent Lacoste - Fonderflick Jocelyn - Franck Duguépéroux - Garnier Gilles - Gineste Benoit - Grandadam Jimmy - Gueniot Pierre - Guillosson Jean-yves - Guitton Aude - Hennebaut David - Herault Emilien - Herrera Antoine - Isabelle Malafosse - Jamier Myriam - Jean Bonnet - Jean-pierre Malafosse - Jys Michel - Karczewski Gaël - Lacoste Florent - Lamarche Béatrice - Laniece Manon - Lucas Philippe - Malafosse Isabelle - Malafosse Jean-pierre - Marie Julien - Martin Patrice - Molto Jerome - Moschetti Maily - Outrebon Juliette - Patrice Martin - Peyo D'andurain - Picq Hervé - Pinna Jean-louis - Quillard Valerie - Ricau Bernard - Riffard Sigrid - Roland Jaffuel - Rombaut Cyril - Sane Fabien - Savineau Morgane - Soliveres Jordi - Sulmont Emeric - Tisne Jean-michel - Torreilles Gérard - Tyssandier Manon - Valerie Quillard - Vernier Rémi

Informations sur l'espèce

L'Alouette lulu est un passereau, qui niche à terre comme toutes les alouettes. Ce petit oiseau est de couleur marron clair striée de bandes plus foncées. Elle se distingue des autres alouettes par ses sourcils bien marqués de couleur blanchâtre, qui se rejoignent à l'arrière de la nuque. Sa queue courte est bordée de blanc.
Cette espèce est commune sur tout le territoire du Parc National des Cévennes, où elle est présente toute l'année. Elle se déplace alors en bande. Elle affectionne particulièrement les milieux ouverts notamment des Causses. Comme sont nom latin l'indique, c'est une espèce assez dépendante des arbres et qui profite des milieux en phase de recolonisation. De fait, c'est une espèce caractéristique des habitats post-pastoraux, des lisières forestières et des secteurs incendiés. On la rencontre à partir de 172 m d'altitude (Les Mages) jusqu'à 1697m sur le Mont Lozère. L'Alouette lulu niche au sol, au pied d'une touffe d'herbe, ou de bruyère. Elle chante en vol dès les mois de janvier-février, mais c'est en mars-avril que les mâles chanteurs se font le plus remarquer. On la reconnaît alors à son chant, qui, aprés une série de trilles, se termine par un lu-lu-luu-luu descendant bien caractéristique.
Non renseigné pour le moment
Non renseignée pour le moment
Alauda arborea Linnaeus, 1758 | Lullula arborea arborea (Linnaeus, 1758) | Lullula arborea pallida Zarudny, 1902

Audio (1)


Woodlark (Lullula arborea) (W1CDR0001500 BD8).ogg

CC-BY-SA-4.0 (Wikimedia Commons)
Auteur: Ndalyrose

Observations par classes d'altitudes

Observations mensuelles