Torcol fourmilier

Jynx torquilla Linnaeus, 1758


Classe : Aves Ordre : Piciformes Famille : Picidae Genre : Jynx
Chargement...

  • 303
    observations

  • 43
    communes

  • 54
    observateurs
    1
    organisme

  • Première observation
    1973

  • Dernière observation
    2024
Ambroise Lucie - Barraud Remy - Bernier Bernard - Bonnet Jean - Bonnet Roger - Boyer Jerome - Chapelle Brigitte - Chenard Michaël - Coenders Sylvie - Costes Geraldine - Deffrennes Benoit - Descamps Régis - Descaves Bruno - Descaves Sandrine - Devevey Caroline - Dinocheau Emmanuel - Dugueperoux Franck - Fabre Jean-marie - Fonderflick Jocelyn - Franck Duguépéroux - Gautier Grégoire - Gineste Benoit - Guillosson Jean-yves - Hennebaut David - Herault Emilien - Herrera Antoine - Hoksbergen Ingrid - Hopkins Frantz - Jamier Myriam - Jean Bonnet - Lamarche Béatrice - Legros Régis - Lucas Philippe - Malafosse Isabelle - Malafosse Jean-pierre - Malvaud Frédéric - Marie Julien - Martin Patrice - Molto Jerome - Parc National Cévennes - Patrice Martin - Peyo D'andurain - Picq Hervé - Pinna Jean-louis - Quillard Valerie - Roland Jaffuel - Rombaut Cyril - Seon Jean - Solier Eléonore - Sulmont Emeric - Tisne Jean-michel - Torreilles Gérard - Tyssandier Manon - Vernier Rémi
  • Parc National des Cévennes
    Participation à 299 Observations
    Part d'aide à la prospection : 98.68 %

    Fiche organisme

Informations espèce

Le Torcol fourmilier est un oiseau migrateur de la famille des Picidae. C’est un nicheur assez commun sur le territoire du Parc National des Cévennes. Très discret, il est toutefois difficile à observer lorsqu’il ne chante pas.
stivant nicheur dans toute l’Eurasie tempérée, les populations d’Europe occidentale s’en vont hiverner en Afrique subsaharienne. Sur le territoire du PNC, le Torcol est à la fois un hôte de passage, dont les mouvements migratoires sont discrets, et un nicheur localisé. Hôte typique des milieux bocagers, il fréquente les haies plantées d’arbres dans lesquelles les frênes, creusés de cavités, semblent lui convenir tout particulièrement. Il vient volontiers se nourrir au sol sur les espaces dégagés des prairies alentour 108 mais son plumage mimétique le rend peu décelable. C’est surtout par son chant caractéristique qu’il trahit sa présence en période de reproduction, tout particulièrement de mi-avril à mi-juin. Un chant tardif est signalé le 10 juillet 1983 à Ispagnac. Les premiers arrivants se manifestent en général dans la deuxième décade de mars ou au début d’avril selon les années, et surtout selon les conditions météorologiques, et une date précoce est signalée le 08 mars 1992 sur le Causse Méjean (commune de Hures-la-Parade). A l’exception des grands massifs forestiers, il est noté un peu partout. La reproduction est attestée par des cris d’alarme le 07 mai, en 2016 à Cauquenas (commune de La Malène), alarme et becquées le 06 juin, en 2016 sur le Causse Méjean, une becquée de fourmis le 15 juin, en 2016 sur la Malène, une nichée suivie en 2012 près de Barre-des-Cévennes avec une sortie du premier poussin le 30 juin, un juvénile volant albinos est noté le 12 juillet 2021 au Pont-de-Montvert et une donnée tardive d’un juvénile encore en duvet, mais hors du nid, le 27 août 2010 sur le Causse Méjean (Mas-Saint-Chély). Les cavités utilisées font référence aux frênes, aux châtaigniers et l’une d’entre elles au prunier. Les contacts en été deviennent plus sporadiques et les derniers oiseaux sont notés visuellement dans le courant de la première quinzaine de septembre avec une date extrême au 15 septembre 2014 à Vébron. L’espèce est ensuite absente l’hiver.
Non renseigné pour le moment
Non renseigné pour le moment
Jynx torquilla torquilla Linnaeus, 1758 | Jynx torquilla tschusii Kleinschmidt, 1907

Observations par classes d'altitudes

Observations mensuelles