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  • 300
    observations

  • 31
    communes

  • 94
    observateurs
    1
    organisme

  • Première observation
    1974

  • Dernière observation
    2024
Alcaix Gérard - Anglio Gregory - Baffie Philippe - Balsan Raphaël - Becquart Claire - Benoist Georges - Berbon Philippe - Bernier Bernard - Bertrand Nicolas - Besnard Sylvie - Bonnet Jean - Breton - Bruce Nicolas - Bussiere Jérome - Citoleux Jacques - Coenders Sylvie - Costes Geraldine - Cuénin Christophe - Debussche Max - Deffrennes Benoit - Delvare Gérard - Descamps Régis - Descaves Bruno - Descaves Sandrine - Destre Rémi - Digier Marion - Duvallet Gerard - Fabre Jean-marie - Feutry Sébastien - Fonderflick Jocelyn - Galouchi Rachida - Garnier Jean - Garrevoet Theo - Granier Nicolas - Guillosson Elisabeth - Guillosson Jean-yves - Guillosson Tristan - Guyot Emile - Hebrard Jp - Hennebaut David - Herault Emilien - Herrera Antoine - Jamier Myriam - Jonard Aymeric - Jys Michel - Karczewski Gaël - Kocher François - Lacroix André - Lafon Nicolas - Lamarche Béatrice - Laurent Alban - Lebeau Irène - Lemaitre Olivier - Lemonnier Michèle - Lucas Philippe - Malafosse Isabelle - Malafosse Jean-pierre - Maldès Jean-michel - Martin Patrice - Meeus Guido - Michel Bruno - Mossot Michèle - Nappee Christian - Noel Pierre - Passet Thierry - Petermann Pierre - Pianalto Sylvie - Picq Hervé - Pierkot Bernard - Pinna Jean-louis - Pistelli Janine - Poisson Francis - Ponel Philippe - Prasil Vincent - Quillard Valerie - Ravel Pascal - Redon Maxime - Ricau Bernard - Riffard Sigrid - Rombaut Cyril - Rousset Christian - Saran Hervé - Seon Jean - Soliveres Jordi - Streito Jean-claude - Szpajdel Christophe - Talhoet Samuel - Thelot Jean-pierre - Timonoz T - Tisne Jean-michel - Torreilles Gérard - Tyssandier Manon - Verdier P - Warnotte Claude
  • Parc National des Cévennes
    Participation à 281 Observations
    Part d'aide à la prospection : 93.67 %

    Fiche organisme

Informations espèce

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Le Pigeon colombin se reproduit au Maroc et sur une vaste étendue européenne jusqu’en Asie centrale mais les populations nordiques et russes sont migratrices tandis que celles du Sud, notamment les populations françaises, sont plutôt transhumantes, ne désertant leur aire de reproduction montagnarde que durant une courte période hivernale. Le Pigeon colombin quitte les hautes altitudes lozériennes en novembre au plus tard pour revenir dès la mi-février. Deux exceptions, cependant, signalent une troupe de 30 individus à Dourbies le 18 janvier 2017 et un pigeon de cette espèce fréquente assidûment une mangeoire chaque hiver depuis 2019 à Saint-Etienne du Valdonnez (Jean-Pierre Malafosse). Mais dans les plaines et collines gardoises, cette espèce hiverne en nombre. Ainsi, dans le Sud du territoire du PNC, le Pigeon colombin peut être rencontré en hiver tandis que sur les hauteurs de ce même territoire, l'espèce ne remonte qu'à partir de la deuxième quinzaine de février pour réinvestir courant mars et avril ses sites de reproduction si l'on en juge aux chants qui sont alors décelés durant cette période. Dans le même temps, des bandes sont observées jusqu'en avril révélant la présence de migrateurs en transit qui se rassemblent sur des sites d'alimentation opportuns, comme certaines prairies et semis : une bande de 70 individus le 18 mars 2021 au Mas-de-la-Font sur la bordure du Causse Méjean ou encore 80 sur le même Causse, plaine de Chanet, le 03 avril 2016 et même 97 le 14 avril suivant au même endroit. Ce pigeon, comme son cousin le Biset, mais à la différence du Ramier, est cavernicole, utilisant pour établir son nid aussi bien les cavités rupestres en falaises que les arbres creux, naturellement évidés ou creusés de cavités par les pics. C'est ainsi qu'il est assez largement distribué sur le territoire du PNC, occupant les vieilles forêts de feuillus ou les falaises des couronnes caussenardes, mais sa population locale semble répartie par taches. La reproduction n'est pas documentée à l'exception de chanteurs cantonnés durant toute la période printanière mais aussi en été jusqu'en août de manière plus ponctuelle. Seul 1 juvénile le 08 mai 2017 au Mont Lozère vient confirmer la reproduction locale. Dès les mois de juin et juillet, des bandes familiales de quelques individus à quelques dizaines se regroupent sur des lieux de nourrissage (chaumes, pelouses caussenardes, prairies fauchées), comme par exemple ces 24 oiseaux le 11 juin 2016 sur le Causse Noir près de Lanuéjols ou ces 32 oiseaux le 28 juin 2013 sur le même causse. Mais c'est en été, de juillet à septembre, que sont notés plus fréquemment les gros rassemblements préfigurant les premiers départs postnuptiaux : plus de 90 individus le 10 juillet 2021 sur le Causse Méjean, 40 le 17 août 2015 sur le même causse et même 105 le 19 août suivant toujours sur le Causse Méjean. Une dernière troupe d’importance, comptant 45 individus, est signalée le 26 septembre 2019 près de Mas-Saint-Chély sur le Causse Méjean. Le passage postnuptial est ensuite plus discret dans le courant d'octobre. Les données de novembre et décembre sont plus rares et concernent surtout le piémont des Cévennes gardoises où l’espèce hiverne communément.
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Pas de synonymes pour ce taxon

Observations par classes d'altitudes

Observations mensuelles