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  • 52
    observations

  • 14
    communes

  • 23
    observateurs
    1
    organisme

  • Première observation
    1984

  • Dernière observation
    2024
Baglione Louis - Baty Stéphane - Boyer Jerome - Bruce Nicolas - Coenders Sylvie - Deffrennes Benoit - Descamps Régis - Descaves Bruno - Descaves Sandrine - Fabre Jean-marie - Fonderflick Jocelyn - Gineste Benoit - Hennebaut David - Henry Isabelle - Herault Emilien - Hopkins Frantz - Jamier Myriam - Lucas Philippe - Malafosse Isabelle - Malafosse Jean-pierre - Picq Hervé - Pinna Jean-louis - Sulmont Emeric
  • Parc National des Cévennes
    Participation à 49 Observations
    Part d'aide à la prospection : 94.23 %

    Fiche organisme

Informations espèce

L’Hermine est un petit mustélidé svelte, vif et agile, qui ne peut être confondu, en pelage estival, qu’avec la Belette. Mais elle s’en distingue toutefois par sa taille, un peu plus grande, et le bout de sa queue noir en toute saison. Comme la Belette, l’Hermine est active de jour comme de nuit, ce qui la rend assez facilement visible par l’observation directe. Son régime alimentaire est très spécialisé, l’espèce ciblant tout particulièrement les gros campagnols du genre Arvicola.
Le Campagnol fouisseur, globalement abondant sur le territoire du Parc dans les terres fraîches et meubles, est sans doute sa proie de prédilection et la répartition locale de l’Hermine est assez bien calquée sur les secteurs de présence du rongeur notamment sur le Mont Lozère, massif largement couvert de prairies, pâtures et pelouses. Les contacts en-dessous de 1000 m d'altitude sont rares. On peut remarquer que les données sont moins nombreuses sur les massifs plus boisés de l’Aigoual et du Bougès et l'Hermine semble absente du Causse Méjean et des gorges périphériques, peut-être en lien avec les très faibles densités, sur ces secteurs, de gros campagnols. Plus au Sud, elle est aussi totalement absente de la zone méditerranéenne sur les contreforts des Cévennes. Toutefois, avec seulement une petite quarantaine de contacts, elle est somme toute peu abondante, même sur le Mont Lozère, comparativement à d’autres secteurs d’altitude de Lozère comme sur l’Aubrac ou la Margeride.
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Pas de synonymes pour ce taxon

Observations par classes d'altitudes

Observations mensuelles