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- 9 observations
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6
communes -
67
observateurs
1
organisme -
Première observation
1986 -
Dernière observation
2021
Alcaix Gérard
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Anglio Gregory
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Balsan Raphaël
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Becquart Claire
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Benoist Georges
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Berbon Philippe
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Besnard Sylvie
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Breton
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Bussiere Jérome
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Citoleux Jacques
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Cuenin Christophe
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Cuénin Christophe
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Debussche Max
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Delvare Gérard
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Descaves Bruno
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Destre Rémi
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Digier Marion
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Duvallet Gerard
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Fabre Jean-marie
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Feutry Sébastien
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Fonderflick Jocelyn
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Galouchi Rachida
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Garnier Jean
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Garrevoet Theo
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Granier Nicolas
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Guillosson Elisabeth
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Guillosson Tristan
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Guyot Emile
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Hebrard Jp
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Hennebaut David
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Jonard Aymeric
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Karczewski Gaël
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Kocher François
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Lacroix André
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Lafon Nicolas
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Lebeau Irène
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Lemaitre Olivier
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Lemonnier Michèle
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Malafosse Isabelle
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Maldès Jean-michel
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Martin Patrice
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Meeus Guido
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Michel Bruno
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Mossot Michèle
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Nappee Christian
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Noel Pierre
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Passet Thierry
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Petermann Pierre
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Pianalto Sylvie
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Pierkot Bernard
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Pistelli Janine
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Poisson Francis
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Ponel Philippe
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Prasil Vincent
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Ravel Pascal
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Ricau Bernard
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Rousset Christian
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Saran Hervé
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Seon Jean
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Streito Jean-claude
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Szpajdel Christophe
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Talhoet Samuel
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Thelot Jean-pierre
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Timonoz T
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Torreilles Gérard
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Verdier P
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Warnotte Claude
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Parc National des Cévennes
Participation à 9 Observations
Part d'aide à la prospection : 100.00 %
Fiche organisme
Informations espèce
Ce joli passereau est de taille supérieure à un moineau. En plumage hivernal et internuptial pour les mâles adultes : la calotte, la nuque, la poitrine et les joues sont lavés de roux. Le dessus du dos est finement strié de brun et le dessous du corps ainsi que le croupion sont blancs. La femelle est plus terne et paraît moins blanche. En vol on distingue aisément la blancheur du croupion et des ailes aux extrémités noires. Cette espèce peut être confondue avec la Niverolle Alpine.
Le Bruant des neiges est une espèce nicheuse dans les régions boréales et arctiques de tout l’hémisphère
Nord. Ses populations du Paléarctique descendent hiverner sous des latitudes plus clémentes en régions
tempérées. C’est ainsi qu’en France, il est régulier en hiver sur le littoral atlantique et, plus
sporadiquement, jusque sur le littoral méditerranéen. Lors de ses mouvements migratoires, il survole
le pays et c’est ainsi que quelques individus sont irrégulièrement notés, ici et là, sur le territoire du PNC,
surtout sur le Mont Lozère et le Causse Méjean. La toute première mention est datée du 23 novembre
1980, un individu est observé au sommet de l’Aigoual à 1550 m d’altitude. L’ensemble des données, dont
les deux-tiers ont été obtenues au cours de la dernière décennie, montre une arrivée au plus tôt le 16
octobre, en 2020 avec un mâle à 1516 m sur les pentes septentrionales du Mont Lozère (commune
d’Altier), et un dernier contact le 07 février, en 1999 sur les mêmes pentes du Mont Lozère à 1416 m
d’altitude. Au même endroit, un record d’effectif, avec huit individus ensemble, est noté la veille, soit le
06 février 1999 ; cette troupe se nourrissait sur le bas-côté de la route là où le talus avait été dégagé par
un chasse-neige. A cette date, s’agissait-il d’oiseaux en train de descendre vers le sud, poussés peut-être
par une vague de froid, ou d’oiseaux déjà en transit prénuptial amorcé plus au sud depuis le littoral
languedocien ? Quoiqu’il en soit, lors de ses haltes migratoires, le Bruant des neiges semble exploiter,
sur les espaces dégagés des bords de chemin ou de route, certains types de graines de plantes qu’il
conviendrait d’identifier. Ses stationnements temporaires ont été signalés sur le Mont Lozère, le Causse
Méjean et l’Aigoual, tous situés à plus de 900 m d’altitude.
Non renseigné pour le moment
Non renseigné pour le moment
Emberiza nivalis Linnaeus, 1758
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Plectrophenax nivalis nivalis (Linnaeus, 1758)
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Plectrophenax nivalis subnivalis (Brehm, 1826)