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  • 451
    observations

  • 20
    communes

  • 48
    observateurs
    1
    organisme

  • Première observation
    1973

  • Dernière observation
    2024
Benoit Mariane - Bernier Bernard - Bonnel Celine - Boyer Jerome - Brien Yves - Chatellier Andréa - Constant Guillaume - Costes Geraldine - Cuenin Christophe - Dallard Roland - Deffrennes Benoit - Descamps Régis - Descaves Bruno - Descaves Sandrine - Dissac Yann - Dugueperoux Franck - Florent Lacoste - Fonderflick Jocelyn - Franck Duguépéroux - Guillosson Jean-yves - Herrera Antoine - Isabelle Malafosse - Jamier Myriam - Jean Bonnet - Jean-pierre Malafosse - Jys Michel - Karczewski Gaël - Lacoste Florent - Lamarche Béatrice - Legros Régis - Lucas Philippe - Malafosse Isabelle - Malafosse Jean-pierre - Marie Julien - Martin Patrice - Molto Jerome - Patrice Martin - Peyo D'andurain - Picq Hervé - Pinna Jean-louis - Quillard Valerie - Riffard Sigrid - Roland Jaffuel - Rombaut Cyril - Sane Fabien - Tisne Jean-michel - Tyssandier Manon - Valerie Quillard
  • Parc National des Cévennes
    Participation à 439 Observations
    Part d'aide à la prospection : 97.34 %

    Fiche organisme

Informations espèce

Non renseigné pour le moment
Le Pipit rousseline est un estivant nicheur sur le continent eurasiatique occidental et central, chaud et tempéré, ainsi qu’en Afrique du Nord. Ses populations d’Europe occidentale s’en vont hiverner dans les régions tropicales subsahariennes du continent africain. En France, l’espèce se reproduit dans les habitats ouverts, sur substrat souvent très minéral avec une strate végétale éparse de type steppique. Sur le territoire du PNC, c’est principalement une espèce caussenarde mais quelques couples sont présents dans certains secteurs karstiques marginaux du pourtour des massifs de l’Aigoual et du Mont Lozère (Sumène, Mandagout, Les Bondons, Altier, Villefort, Prévenchères). Le retour printanier est assez régulier et se situe autour du 22 avril, sur le Causse Méjean, secteur bien prospecté et largement parcouru par les ornithologues ; la date précoce du 15 avril est signalée en 2013 et en 2014. Bien que ses populations nicheuses soient assez clairsemées plus haut en latitude, des individus ne font que passer en migration comme semblent le montrer les données rapportées de contrées au nord du Parc ou sur le Mont Lozère où il ne niche pas. Mais le passage sur les causses, peu abondant de toute façon, est peu discernable. Dès leur retour en nombre, début mai, les couples locaux manifestent leur territorialité (chants et poursuites) en reprenant rapidement possession de leurs territoires de nidification. L’espèce apprécie les milieux ouverts avec une strate herbacée rase et discontinue laissant apparaître le substrat minéral. Malheureusement, l’abandon de l’élevage extensif favorise la recolonisation végétale de ces milieux que déserte à son tour le Pipit rousseline. Trente données font état d’adultes avec becquées, nourrissant des poussins au nid, entre le 18 mai et le 26 août : 2 occurrences en mai, 13 en juin, 11 en juillet et 4 en août. Un nid contenant 3 œufs est découvert le 30 juin 2008 près de La Parade sur le Causse Méjean. De jeunes oiseaux juste sortis du nid sont notés entre le 30 juin et le 12 septembre : 1 occurrence en juin, 5 en juillet, 1 en août et 2 en septembre. Signalons le nourrissage d’un jeune Coucou gris par un adulte de Pipit rousseline les 23 et 25 août 2016, entre 1000 et 1100 m, sur les pentes du mont Gargo (Causse Méjean, commune de Vébron). Dès la mi-août, les premières nichées se regroupent : 10 individus ensemble le 14 août 2011 au Serre de l’Aspic (Causse de Sauveterre, commune d’Ispagnac) et 22 individus, dont 18 ensemble, sont observés le 24 août 2018 sur le Serre de Fourcat (Causse Méjean, commune de Vébron). Les premiers départs ont sans doute lieu durant la fin de ce mois comme en témoignent certains sites de reproduction complètement désertés à cette période. Mais des troupes lâches peuvent encore être notés en septembre mais concernent peut- être aussi des oiseaux de passage : 12 individus le 04 septembre, en 2013, sur le même Serre de Fourcat. A mi-septembre, l’espèce a en général quitté le territoire du Parc. Seuls quatre contacts sont notés au- delà du 20 septembre et la date ultime de présence est datée du 03 octobre 2012 sur le même Serre de Fourcat, lieu où nombre d’ornithologues sont à ce moment-là à la recherche du Pluvier Guignard. L’espèce est ensuite totalement absente en hiver.
Pelouses | Prairies
Non renseigné pour le moment
Alauda campestris Linnaeus, 1758 |

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Observations mensuelles