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- 3 observations
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3
communes -
64
observateurs
1
organisme -
Première observation
1988 -
Dernière observation
2020
Alcaix Gérard
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Anglio Gregory
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Balsan Raphaël
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Becquart Claire
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Benoist Georges
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Berbon Philippe
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Besnard Sylvie
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Breton
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Bussiere Jérome
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Citoleux Jacques
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Cuénin Christophe
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Debussche Max
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Delvare Gérard
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Descamps Régis
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Descaves Bruno
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Destre Rémi
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Digier Marion
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Duvallet Gerard
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Fabre Jean-marie
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Feutry Sébastien
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Galouchi Rachida
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Garnier Jean
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Garrevoet Theo
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Granier Nicolas
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Guillosson Elisabeth
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Guillosson Jean-yves
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Guillosson Tristan
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Guyot Emile
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Hebrard Jp
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Jonard Aymeric
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Kocher François
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Lacroix André
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Lafon Nicolas
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Lebeau Irène
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Lemaitre Olivier
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Lemonnier Michèle
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Maldès Jean-michel
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Martin Patrice
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Meeus Guido
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Michel Bruno
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Mossot Michèle
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Nappee Christian
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Noel Pierre
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Passet Thierry
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Petermann Pierre
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Pianalto Sylvie
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Pierkot Bernard
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Pistelli Janine
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Poisson Francis
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Ponel Philippe
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Prasil Vincent
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Ravel Pascal
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Ricau Bernard
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Rousset Christian
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Saran Hervé
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Seon Jean
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Streito Jean-claude
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Szpajdel Christophe
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Talhoet Samuel
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Thelot Jean-pierre
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Timonoz T
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Torreilles Gérard
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Verdier P
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Warnotte Claude
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Parc National des Cévennes
Participation à 3 Observations
Part d'aide à la prospection : 100.00 %
Fiche organisme
Informations espèce
Non renseigné pour le moment
Espèce quasi cosmopolite, à l’exception de l’Asie et de l’Australie, l’Hirondelle de rivage est une estivante
nicheuse dans les régions tempérées et nordiques de l’hémisphère Nord. Les populations européennes
hivernent dans toute l’Afrique australe, au sud du Sahara. En France, elle niche sur toutes les rivières de
plaine où elle trouve son habitat de prédilection : les grandes berges et talus limoneux dans lesquels
cette espèce grégaire trouve à installer ses colonies. Elle évite les massifs montagneux et même les
rivières des piémonts, ainsi, dans le PNC, elle n’est que de passage. Cinq données printanières situent le
retour de cette espèce au plus tôt le 21 mars, en 2006 avec une centaine d’oiseaux à Sainte-Cécile-
d’Andorge sur le Piémont Cévenol. Quatre autres données, jusqu’au 18 avril 2020 où 1 individu est noté
au Rozier dans les gorges du Tarn, se réfèrent à des oiseaux en migration prénuptiale. Mais la présence,
plus tardive en saison, de 30 individus le 25 mai 2018 près d’Anduze, pourrait révéler la proximité d’une
colonie de reproducteurs localisée quelque part dans ce secteur des basses Cévennes s’il ne s’agit pas
d’une « nouvelle vague migratoire discrète, qui amène essentiellement des oiseaux de seconde année »
(Ouvrage collectif 2019). Aucune preuve n’est cependant venue confirmer une telle reproduction dans
les limites du Parc et l’on peut considérer, en l’état des connaissances actuelles, que l’Hirondelle de
rivage n’est qu’un migrateur sur la zone d’étude. Le passage postnuptial est mentionné entre la mi-août
et le 28 septembre (4 données en août et 6 en septembre). Soulignons, là aussi, que les 20 individus,
notés à la date précoce du 15 août 2011 près du Vigan, peuvent aussi bien se référer à un rassemblement
postnuptial de reproducteurs locaux qu’à un groupe d’oiseaux déjà de retour, en halte migratoire.
Zones humides
Non renseigné pour le moment
Hirundo riparia Linnaeus, 1758
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