Faucon crécerellette

Falco naumanni Fleischer, 1818


Classe : Aves Ordre : Falconiformes Famille : Falconidae Genre : Falco

  • 182
    observations

  • 11
    communes

  • 44
    observateurs
    1
    organisme

  • Première observation
    1973

  • Dernière observation
    2024
Baffie Philippe - Barraud Remy - Bernardi Catherine - Bonnel Celine - Boyer Jerome - Chenard Michaël - Combet Nina - Costes Geraldine - Deffrennes Benoit - Descamps Régis - Descaves Bruno - Descaves Sandrine - Destre Rémi - Devevey Caroline - Dissac Yann - Dugueperoux Franck - Feldmann Philippe - Fonderflick Jocelyn - Garlenc Jean-christian - Gineste Benoit - Gueniot Pierre - Guillosson Jean-yves - Henry Isabelle - Herault Emilien - Herrera Antoine - Holstein Véronique - Jamier Myriam - Karczewski Gaël - Lamarche Béatrice - Laurent Alban - Lenganey Denis - Lucas Philippe - Malafosse Isabelle - Malafosse Jean-pierre - Molto Jerome - Picq Hervé - Pinna Jean-louis - Quillard Valerie - Rombaut Cyril - Rossignol Tom - Soliveres (perso) Jordi - Soliveres Jordi - Tisne Jean-michel - Tyssandier Manon
  • Parc National des Cévennes
    Participation à 162 Observations
    Part d'aide à la prospection : 89.01 %

    Fiche organisme

Informations espèce

Non renseigné pour le moment
Estivant nicheur sur le continent eurasiatique tempéré et méditerranéen, le Faucon crécerellette s’en va hiverner en Afrique subsaharienne. Grand migrateur, il revient dès le mois de mars en France pour nicher en région méditerranéenne, des plaines du Languedoc-Roussillon jusqu’en Crau, en continuité avec la population ibérique. Sur le territoire du PNC, cette espèce n’est présente qu’en fin de période estivale. Un contingent d’oiseaux remonte du Sud, notamment d’Espagne, comme l’ont montré quelques reprises de bagues, ainsi que des plaines du Languedoc et de Crau très vraisemblablement, pour venir se nourrir sur les secteurs d’altitude des causses, Méjean et Sauveterre, ainsi que sur le Mont Lozère. Là, les Crécerellettes profitent de l’entomofaune encore abondante et diversifiée que produisent en fin de saison estivale les habitats de pelouses steppiques de ces secteurs. Les premiers oiseaux se manifestent à la fin du mois de juillet, une date précoce est signalée le 16 juillet, en 2014 au Mont Aigoual. Mais un dortoir comptant 114 individus, branchés dans une plantation de Pin noir sur les pentes du mont Gargo (Causse Méjean) le 29 juillet 1997 au soir, se rapporte vraisemblablement à cette espèce. Identifié à l’époque comme un dortoir de Faucon crécerelle (Destre et coll. 2000), il est quasiment certain, avec la connaissance actuelle de ces deux espèces, qu’il s’agissait en fait d’un dortoir de Faucon crécerellette. Selon les années et les fluctuations de la ressource alimentaire, constituée principalement d’Orthoptères et d’Hyménoptères, les troupes de Crécerellettes en chasse sont en nombre et effectifs variables. Depuis l’année 2007, les dortoirs sont systématiquement recherchés et dénombrés à l’échelle régionale. Sur le PNC, les principaux dortoirs, réguliers d’une année à l’autre, sont situés sur le Causse Méjean principalement et accessoirement sur le Causse de Sauveterre et dénombrés dans les derniers jours d’août. Un maximum a été observé fin août 2012 avec près de 1400 oiseaux, près d’un millier l’année précédente mais ce sont en général quelques centaines d’oiseaux qui sont recensées, environ 320 l’été 2021 par exemple. Les départs s’échelonnent rapidement dans les premiers jours de septembre et une date ultime est mentionnée le 15 septembre 2018 avec six individus encore en chasse sur la plaine de Chanet (Causse Méjean). Variation des effectifs de Faucon crécerellette en période post-nuptiale sur le Causse Méjean et au niveau national entre 2007 et 2023
Pelouses | Prairies
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Cerchneis naumanni (Fleischer, 1818) |

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