Rollier d'Europe

Coracias garrulus Linnaeus, 1758


Classe : Aves Ordre : Coraciiformes Famille : Coraciidae Genre : Coracias
Chargement...

  • 125
    observations

  • 24
    communes

  • 46
    observateurs
    1
    organisme

  • Première observation
    1974

  • Dernière observation
    2023
Baffie Philippe - Balaye Eddie - Barraud Remy - Baty Stéphane - Bonnet Jean - Boulant Nadine - Boyer Jerome - Bruc Yves - Combet Nina - Costes Geraldine - Deffrennes Benoit - Descamps Régis - Descaves Bruno - Destre Rémi - Devevey Caroline - Dissac Yann - Dugueperoux Franck - Feldmann Philippe - Fonderflick Jocelyn - Garlenc Jean-christian - Gautier Grégoire - Hennebaut David - Herault Emilien - Herrera Antoine - Holstein Véronique - Jamier Myriam - Karczewski Gaël - Lamarche Béatrice - Laurents Guilhem - Legros Régis - Lucas Philippe - Maccagno Yves - Malafosse Isabelle - Malafosse Jean-pierre - Malvaud Frédéric - Picq Hervé - Pinna Jean-louis - Quillard Valerie - Ravel Pascal - Rombaut Cyril - Roumejon Thierry - Soliveres Jordi - Thomas Nathalie - Tisne Jean-michel - Torreilles Gérard - Tyssandier Manon
  • Parc National des Cévennes
    Participation à 125 Observations
    Part d'aide à la prospection : 100.00 %

    Fiche organisme

Informations espèce

Non renseigné pour le moment
Le Rollier d’Europe est un estivant nicheur en Europe, tempérée et méridionale, ainsi qu’au Moyen- Orient, qui s’en va passer l’hiver en Afrique subsaharienne. Sur le territoire du PNC, on le rencontre de mai à septembre pour un double mouvement migratoire, sans doute très rare, ou discret, au printemps mais plus conséquent en période postnuptiale. Avec une date de retour précoce au 28 avril, en 2009 à Fraissinet-de-Lozère (Mont Lozère), l’essentiel des données de mai, juin et juillet concernent des oiseaux observés au pied des Cévennes ou sur les contreforts de l’Aigoual : un individu le 26 mai 1977 à Bassurels. Aucune donnée de reproduction n’est signalée mais l’espèce nichant communément plus au Sud sur le littoral méditerranéen, on peut supposer que quelques-unes de ces données concernent des reproducteurs, notamment celles de juin ou juillet, tandis que celles de mai se rapportent davantage à des migrateurs poussant vers le Nord-Est du continent européen. On peut souligner que cette espèce n’est quasiment pas notée en altitude au printemps. Sur les plateaux des causses, comme sur tout autre milieu ouvert ou semi-ouvert (prairies, pelouses steppiques, chaumes…) des contreforts du Mont Lozère ou de l’Aigoual, l’espèce y est en revanche régulière et certaines années avec des effectifs remarquables en fin d’été : jusqu’à 34 individus observés dans la plaine de Chanet sur le Causse Méjean le 13 août 2022. La plupart des contacts sont alors concentrés en août et septembre et concernent des oiseaux en halte pré-migratoire, soit venus du Nord-Est (l’espèce niche en Biélorussie) ou plutôt, à l’instar du Faucon crécerellette, remontant depuis les régions du Sud (littoral méditerranéen ou péninsule ibérique ?). En effet, les observations rapportées montrent que ces oiseaux ont alors l’habitude de stationner, plusieurs jours durant, sur certains secteurs où ils profitent de la manne alimentaire disponible. Les orthoptères, les coléoptères et autres insectes constituent alors une biomasse appréciée des oiseaux insectivores qui doivent constituer leurs réserves adipeuses pour garantir, plus tard, leur migration vers le Sud. L’association avec le Faucon crécerellette est d’ailleurs fréquente, à cette période- là, sur les secteurs les plus riches (Causses de Sauveterre et Méjean). La date ultime de présence est 106 signalée un 26 septembre, en 2016 sur la commune de Vébron
Non renseigné pour le moment
Non renseigné pour le moment
Pas de synonymes pour ce taxon

Observations par classes d'altitudes

Observations mensuelles