Mouflon d'Arménie

Ovis gmelinii Blyth, 1841

Classe : Mammalia Ordre : Cetartiodactyla Famille : Bovidae Genre : Ovis

  • 262
    observations

  • 17
    communes

  • 41
    observateurs
    1
    organisme

  • Première observation
    1979

  • Dernière observation
    2024
Baffie Philippe - Barraud Remy - Bertrand Nicolas - Boyer Jerome - Casse Maël - Chenard Michaël - Coenders Sylvie - Costes Geraldine - Deffrennes Benoit - Descamps Régis - Descaves Bruno - Devevey Caroline - Dissac Yann - Dugueperoux Franck - Fonderflick Jocelyn - Fort Clément - Garde Maxence - Garnier Gilles - Guyonvarch Marine - Herault Emilien - Hoksbergen Ingrid - Hopkins Frantz - Jamier Myriam - Karczewski Gaël - Lamarche Béatrice - Malafosse Isabelle - Malafosse Jean-pierre - Malinge Marie - Meynet Laurie - Molto Jerome - Picq Hervé - Pinna Jean-louis - Quillard Valerie - Redon Maxime - Revelli Paul - Rombaut Cyril - Scherrer Richard - Solier Eléonore - Soliveres Jordi - Sulmont Emeric - Tisne Jean-michel
  • Parc National des Cévennes
    Participation à 259 Observations
    Part d'aide à la prospection : 98.85 %

    Fiche organisme

Informations espèce

Le Mouflon mesure entre 1,10 et 1,30 m au garrot et pèse entre 25 et 50 kg. Son pelage de couleur brun-roux est épais, le museau, les pattes et le ventre sont blancs. Le mâle se distingue de la femelle avec ses poils sur la croupe, et ses cornes qui s’enroulent à partir de l’âge de 3 ans pour atteindre un mètre de long. Le rut à lieu de mi-octobre à mi-décembre et est marquée par les combats des mâles. Le Mouflon affectionne les vastes espaces ouverts au relief modéré, au sol dur et sec couvert d’une végétation herbacée ou arbustive.
Sur le territoire du Parc national des Cévennes, il est noté à partir de 471 m d’altitude sur la commune des Vignes jusqu’à 1344 sur la commune de Valleraugue. Originaire de Corse, cette espèce a été introduite à partir des années 1950 en métropole pour des intérêts cynégétiques. En Lozère, le premier lâché a eu lieu le 3 février 1954 au col du Minier (Mont Aigoual). Aujourd’hui, dans les Parc national des Cévennes, plusieurs petites populations sont visibles sur les pentes du Mont Aigoual et dans les Gorges du Tarn sur les versants des Causses Méjean et de Sauveterre. Dans les gorges du Tarn, on observe plusieurs petites hardes qui se partagent le territoire depuis Ispagnac jusqu’à Mostéjouls. Sur le Mont Aigoual, les noyaux de populations sont dispersés et semblent moins fréquents.
Non renseigné pour le moment
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Ovis orientalis auct.

Observations par classes d'altitudes

Observations mensuelles