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  • 69
    observations

  • 17
    communes

  • 32
    observateurs
    4
    organismes

  • Première observation
    1987

  • Dernière observation
    2023
Allegrini Benjamin - Bassi Isabelle - Boyer Jerome - Chenard Michaël - Cockle Anya - Commandre Gilbert - Costes Geraldine - Darnis Thomas - Delavelle Stéphane - Descamps Régis - Descaves Bruno - Devevey Caroline - Fonderflick Jocelyn - Garnier Gilles - Gattus Jean_christophe - Henry Isabelle - Herault Emilien - Jamier Myriam - Jarentowski Christian - Lamarche Béatrice - Malafosse Isabelle - Malafosse Jean-pierre - Malgouyre Frederic - Molto Jerome - Noblet Jean-françois - Popelard Jean-bernard - Quillard Valerie - Rivaz (de) Guy - Rombaut Cyril - Sane Fabien - Seon Jean - Soliveres Jordi
  • Parc National des Cévennes
    Participation à 69 Observations
    Part d'aide à la prospection : 100.00 %

    Fiche organisme

  • COPAGE
    Participation à 57 Observations
    Part d'aide à la prospection : 82.61 %

    Fiche organisme

  • GCLR
    Participation à 57 Observations
    Part d'aide à la prospection : 82.61 %

    Fiche organisme

  • Syndicat mixte des Hautes Vallées Cévenoles
    Participation à 57 Observations
    Part d'aide à la prospection : 82.61 %

    Fiche organisme

Informations espèce

Le Murin à oreilles échancrées, de taille moyenne (36-45 mm ; Poids : 6-15 g), se reconnaît assez facilement, en main, par un pelage d'aspect laineux avec une coloration brun clair tirant sur le roux. Le ventre est beige sans grand contraste avec le dos, au contraire du Murin de Natterer à peu près de la même taille, mais surtout le Murin à oreilles échancrées, comme son nom l'indique, présente une nette échancrure sur le bord externe de l'oreille reconnaissable au premier coup d'oeil. Le tragus, pointu n'atteint pas cette échancrure. Le Murin à oreilles échancrées exploite des milieux toujours plus ou moins boisés voire très forestiers. Cavernicole en hiver, il utilise les combles et greniers comme gîte de mise-bas.
Sur le territoire du Parc national des Cévennes, l'espèce semble bien présente, contactée à l'unité le plus souvent lors de prospections au détecteur ou au filet. Signalée sur les forêts du Sapet (Saint-Étienne-du-Valdonnez) et du Bois Noir (Altier) (Vinet & Garin 2017) où cette espèce vient surtout en chasse. En montagne, notée en activité de chasse, en lisière forestière, jusqu'à 1300 m près du lac des Pises (commune de Dourbies) bien que cette espèce semble très nettement cantonnée à des habitats de plus basses altitudes. C'est par ailleurs une espèce qui présente la particularité, en période estivale et automnale, de gîter en pleine journée, seule ou en groupe, à l'extérieur des bâtiments, le plus souvent en demi-lumière en haut des façades sous les avant-toits des maisons, ce qui permet une identification aisée de l'espèce.
Milieux boisés
Non renseigné pour le moment
Myotis budapestiensis | Myotis ciliati | Myotis emarginatus emarginatus | Myotis neglectus | Myotis rufescens Crespon | Myotis schrankii Kolenati, 1856 | Vespertilio emarginatus É. Geoffroy Saint-Hilaire, 1806

Observations par classes d'altitudes

Observations mensuelles