Rhinolophe euryale

Rhinolophus euryale Blasius, 1853


Classe : Mammalia Ordre : Chiroptera Famille : Rhinolophidae Genre : Rhinolophus
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  • 148
    observations

  • 11
    communes

  • 20
    observateurs
    4
    organismes

  • Première observation
    1958

  • Dernière observation
    2024
- Allegrini Benjamin - Bertrand Nicolas - Costes Geraldine - Descaves Bruno - Disca Thierry - Fontaine Adélaïde - Indetermine - Jeantet René - Karczewski Gaël - Konig Claus Et Ingrid - Larnac Gilles - Malafosse Jean-pierre - Pianalto Sylvie - Pons Madeleine - Rivaz (de) Guy - Rombaut Cyril - Rufray Vincent - Seon Jean - Sulmont Emeric
  • Parc National des Cévennes
    Participation à 141 Observations
    Part d'aide à la prospection : 95.27 %

    Fiche organisme

  • COPAGE
    Participation à 139 Observations
    Part d'aide à la prospection : 93.92 %

    Fiche organisme

  • GCLR
    Participation à 139 Observations
    Part d'aide à la prospection : 93.92 %

    Fiche organisme

  • Syndicat mixte des Hautes Vallées Cévenoles
    Participation à 139 Observations
    Part d'aide à la prospection : 93.92 %

    Fiche organisme

Informations espèce

Légèrement plus petit que le Grand Rhinolophe, le Rhinolophe euryale (44-51 mm ; Poids : 8-17 g) évite très nettement les habitats d’altitude dans notre région et reste cantonné au piémont des Cévennes dans des ambiances franchement méditerranéennes. Cette espèce fréquente, en activité de chasse, des habitats forestiers semi-ouverts d’âges moyens à mûrs où dominent les feuillus (chênes verts et pubescents, châtaigniers, érable de Montpellier etc.) mais aussi les ripisylves (aulnes, saules et peupliers) et les vergers de pommiers (Lecoq 2006). Les colonies de mise-bas connues sont toutes des cavités souterraines (grottes et avens) mais des individus solitaires ou en petits groupes (mâles, femelles non reproductrices) peuvent utiliser des habitats anthropiques (clèdes, cabanes forestières, moulins abandonnés…) comme gîtes diurnes à la belle saison. C'est sans doute à ce caractère un peu erratique et solitaire de certains individus que l'on peut peut-être rattacher ces cas d'individus mentionnés ponctuellement plus au Nord. Les colonies d’hibernation sont elles aussi en piémont méridional des Cévennes.
Signalé dans les années 1950 jusque sur Florac (par le pasteur Duckert, notes personnelles), aucune mention de cette espèce n’a plus jamais été rapportée de ce secteur malgré les nombreuses prospections de ces dernières années. Il n’est pas exclu qu’il y ait eu une erreur d’identification à l’époque. De même, quelques données sont rapportées dans les gorges de la Jonte, à 608 m d'altitude en 2009 dans un moulin abandonné, sur la commune de Saint-Sauveur-Camprieu et dans les gorges du Trévezel ; ces trois données, un peu anciennes, concernent à chaque fois un seul individu, contacté isolément, que l'on peut considérer comme des individus erratiques en dehors de leur répartition plus méridionale. Notons qu'aucun autre contact n'a eu lieu dans ces mêmes secteurs par la suite. Par contre, si l'on considère la grande majorité des observations rapportées dans la base de données, on note que le Rhinolophe euryale est bien présent en marge méridionale du Parc national.
Milieux boisés
Non renseigné pour le moment
Rhinolophus atlanticus | Rhinolophus barbarus | Rhinolophus cabrerae | Rhinolophus nordmanni | Rhinolophus toscanus

Observations par classes d'altitudes

Observations mensuelles