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- 12 observations
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6
communes -
65
observateurs
1
organisme -
Première observation
1982 -
Dernière observation
2020
Alcaix Gérard
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Anglio Gregory
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Balsan Raphaël
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Becquart Claire
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Benoist Georges
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Berbon Philippe
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Besnard Sylvie
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Breton
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Bussiere Jérome
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Citoleux Jacques
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Cuénin Christophe
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Debussche Max
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Delvare Gérard
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Descaves Bruno
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Destre Rémi
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Digier Marion
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Duvallet Gerard
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Fabre Jean-marie
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Feutry Sébastien
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Fonderflick Jocelyn
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Galouchi Rachida
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Garnier Jean
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Garrevoet Theo
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Granier Nicolas
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Guillosson Elisabeth
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Guillosson Tristan
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Guyot Emile
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Hebrard Jp
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Jonard Aymeric
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Kocher François
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Lacroix André
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Lafon Nicolas
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Lebeau Irène
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Lemaitre Olivier
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Lemonnier Michèle
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Malafosse Isabelle
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Maldès Jean-michel
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Martin Patrice
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Meeus Guido
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Michel Bruno
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Mossot Michèle
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Nappee Christian
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Noel Pierre
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Passet Thierry
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Petermann Pierre
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Pianalto Sylvie
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Pierkot Bernard
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Pinna Jean-louis
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Pistelli Janine
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Poisson Francis
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Ponel Philippe
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Prasil Vincent
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Ravel Pascal
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Ricau Bernard
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Rousset Christian
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Saran Hervé
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Seon Jean
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Streito Jean-claude
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Szpajdel Christophe
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Talhoet Samuel
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Thelot Jean-pierre
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Timonoz T
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Torreilles Gérard
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Verdier P
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Warnotte Claude
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Parc National des Cévennes
Participation à 12 Observations
Part d'aide à la prospection : 100.00 %
Fiche organisme
Informations espèce
Non renseigné pour le moment
Le Bruant des roseaux a, de tous les bruants, la plus vaste répartition sur tout le continent eurasiatique.
C’est un estivant nicheur, et donc migrateur, dans les contrées nordiques froides, mais davantage
sédentaire dans les régions tempérées. Les populations nordiques, ou des montagnes, descendent
l’hiver vers les régions plus clémentes du pourtour méditerranéen et du Moyen-Orient. En France,
l’espèce est présente en nidification sur toutes les zones humides naturelles ou artificielles couvertes
d’une végétation palustre avec un piqueté d’arbustes ou d’arbres et ces mêmes habitats reçoivent en
hiver les populations nordiques migratrices. Sur le territoire du PNC, le Bruant des roseaux est
principalement un migrateur au double passage mais des individus isolés ou des petites troupes
erratiques sont notées ici ou là certains hivers : 10 individus, mêlés à une bande de pinsons, le 15
décembre, en 2012 dans une friche au milieu d’un vignoble près de Monoblet à 300 m d’altitude, et 5
individus le 25 janvier, en 1999 sur les contreforts de l’Aigoual à 1092 m d’altitude. Malgré ces contacts
hivernaux plutôt rares, le Bruant des roseaux est toutefois signalé entre les dates extrêmes des 21
septembre, en 2015 avec 1 individu près du col de l'Asclier à 960 m sur la commune de Val-d’Aigoual, et
25 avril, en 1972 avec 1 oiseau au bord du Tarn au Rozier. Les deux pics de passage migratoire sont
marqués, l’un, au printemps lors de la remontée prénuptiale, entre la dernière décade de février et la
première quinzaine de mars et l’autre, à l’automne, entre la mi-octobre et la mi-novembre. Considérant
les deux voies principales de migration connues chez cette espèce (Issa & Muller 2015), il est plus
probable que les migrateurs qui survolent le Parc soient originaires d’Europe centrale et de Russie.
L’espèce nichant, à peu de distance du territoire du PNC, sur le plateau de l’Aubrac, l’étang de Barrandon,
sur l’épaule occidentale du Mont Lozère, offre un habitat qui semblerait pouvoir retenir le Bruant des
roseaux en nidification. Non constatée jusque-là, le site mériterait toutefois un suivi printanier et estival
ciblé.
Non renseigné pour le moment
Non renseigné pour le moment
Emberiza schoeniclus turonensis Steinbacher, 1930
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Fringilla schoeniclus Linnaeus, 1758
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Schoeniclus schoeniclus (Linnaeus, 1758)
Audio (1)
Reed Bunting (Emberiza schoeniclus) (W1CDR0001379 BD4).ogg
CC-BY-SA-4.0
(Wikimedia Commons)
Auteur: Ndalyrose