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  • 15
    observations

  • 6
    communes

  • 13
    observateurs
    1
    organisme

  • Première observation
    1979

  • Dernière observation
    2024
Barraud Remy - Bonnet Jean - Casse Maël - Descamps Régis - Descaves Bruno - Descaves Sandrine - Fabre Jean-marie - Garnier Gilles - Jamier Myriam - Malafosse Isabelle - Malafosse Jean-pierre - Soliveres Jordi - Tyssandier Manon
  • Parc National des Cévennes
    Participation à 14 Observations
    Part d'aide à la prospection : 93.33 %

    Fiche organisme

Informations espèce

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Très largement distribué sur la planète, le Hibou des marais, ou Hibou brachyote, est un estivant nicheur en Eurasie tempérée et nordique qui migre franchement l’hiver vers les régions méridionales et, pour les populations d’Europe occidentale, localement jusqu’en Afrique. Sur le territoire du PNC, comme en France d’une manière plus générale, c’est un migrateur qui descend l’hiver vers les habitats ouverts, secs ou humides, mais où la ressource alimentaire, en campagnols surtout, est abondante. Ces rongeurs montrent des fluctuations interannuelles cycliques et la présence du Hibou des marais, bien qu’assez régulière, à l’unité sur quelques secteurs habituels, peut montrer ici ou là des effectifs remarquables certains hivers. C’est ainsi qu’il est signalé en octobre, le 11 octobre 2019 au lac des Pises, le 12 octobre 2010 posé dans la lande sommitale à callunes du Mont Lozère, dates et lieux correspondant sans doute à des oiseaux en migration vers le sud puis en hiver, de décembre à mars. L’hiver 2007-2008 a retenu 103 quelques oiseaux, au moins 7 vus ensemble le 13 décembre 2007 sur le secteur des Plos (Causse Méjean), mais on peut en soupçonner bien davantage compte tenu de la surface de cette pelouse steppique alors constellée de trous de rongeurs, œuvre du Campagnol des champs Microtus arvalis probablement. Bien que le Hibou des marais soit connu pour chasser volontiers en pleine journée, notons que ces oiseaux rassemblés sur le causse se tenaient immobiles et discrets, à l’abri des graminées, durant le jour pour ne partir en chasse qu’à la nuit tombante, heure à laquelle ils deviennent difficiles à observer et encore plus à compter. Cette discrétion diurne des oiseaux rassemblés en dortoirs hivernaux a par ailleurs été constatée sur d’autres sites limitrophes du PNC, notamment sur le Causse de Sauveterre, près du Massegros et sur Saint-Rome-de-Dolan, durant l’hiver 2014-2015. Les oiseaux notés plus tard en avril, le 03 avril 2021 près du Rachas (Prévenchères) ou le 12 avril 1979 près de Drigas (Causse Méjean), et surtout en mai, date extrême le 05 mai 1984 au Villaret (Causse Méjean), sont sans doute des oiseaux de passage en route vers leurs territoires de nidification nordiques.
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Asio accipitrinus Zarudny & Loudon, 1906 | Strix flammeus Pontoppidan, 1763

Observations par classes d'altitudes

Observations mensuelles