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- 4 observations
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2
communes -
64
observateurs
1
organisme -
Première observation
1973 -
Dernière observation
2002
Alcaix Gérard
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Anglio Gregory
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Balsan Raphaël
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Becquart Claire
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Benoist Georges
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Berbon Philippe
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Besnard Sylvie
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Breton
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Bussiere Jérome
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Citoleux Jacques
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Cuénin Christophe
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Debussche Max
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Delvare Gérard
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Descaves Bruno
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Descaves Sandrine
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Destre Rémi
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Digier Marion
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Duvallet Gerard
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Fabre Jean-marie
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Feutry Sébastien
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Galouchi Rachida
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Garnier Jean
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Garrevoet Theo
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Granier Nicolas
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Guillosson Elisabeth
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Guillosson Jean-yves
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Guillosson Tristan
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Guyot Emile
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Hebrard Jp
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Jonard Aymeric
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Kocher François
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Lacroix André
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Lafon Nicolas
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Lebeau Irène
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Lemaitre Olivier
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Lemonnier Michèle
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Maldès Jean-michel
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Martin Patrice
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Meeus Guido
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Michel Bruno
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Mossot Michèle
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Nappee Christian
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Noel Pierre
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Passet Thierry
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Petermann Pierre
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Pianalto Sylvie
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Pierkot Bernard
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Pistelli Janine
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Poisson Francis
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Ponel Philippe
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Prasil Vincent
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Ravel Pascal
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Ricau Bernard
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Rousset Christian
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Saran Hervé
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Seon Jean
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Streito Jean-claude
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Szpajdel Christophe
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Talhoet Samuel
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Thelot Jean-pierre
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Timonoz T
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Torreilles Gérard
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Verdier P
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Warnotte Claude
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Parc National des Cévennes
Participation à 4 Observations
Part d'aide à la prospection : 100.00 %
Fiche organisme
Informations espèce
Non renseigné pour le moment
À la différence de son espèce cousine le Grand Gravelot, le Petit Gravelot a une distribution très vaste
sur tout le continent eurasiatique en période de reproduction. À l'automne, il rejoint ses quartiers
d'hiver essentiellement situés dans la zone intertropicale de l'Afrique. Il survole donc lui aussi deux fois
l'an le territoire du PNC lors de sa double migration. Les premiers retours printaniers ont lieu dans le
courant de mars, dans la première décade dans le Gard ainsi qu’en Lozère mais dans le territoire du PNC,
la présence la plus précoce du Petit Gravelot est datée du 21 mars, en 2005 sur les berges du Tarn au
Rozier. L’espèce n’est toujours notée que par individus isolés voire 2 ou 3 ensemble. Quelques couples
s’installent sur le lit des gardons, au pied des Cévennes, à condition d’y trouver un habitat idoine, c’est-
à-dire des rives suffisamment larges et couvertes de galets. La reproduction est prouvée sur le Gardon
d’Anduze, un nid contenant 4 œufs le 05 juin, en 2016 près de La Madeleine, ainsi que le 02 juillet, en
2010 avec un nourrissage sur la Cèze (commune de Saint-Ambroix). Le passage postnuptial est peu
documenté, quelques individus, isolés ou par paires, sont notés sur le lac des Pises le 14 juillet, en 2002,
et jusqu’au 30 août, en 1974. Mais les oiseaux en transit migratoire se confondent sans doute avec les
quelques reproducteurs locaux notamment sur le piémont des Cévennes. La présence de l’espèce est
signalée jusqu’à la date ultime du 12 septembre, en 1974 près d’Aumessas. Notons que sur le littoral
méditerranéen, cette espèce a tendance, ces dernières décennies, à séjourner durant les mois en hiver
(COGard 2019).
Non renseigné pour le moment
Non renseigné pour le moment
Charadrius curonicus Gmelin, 1789
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Charadrius dubius curonicus Gmelin, 1789
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Chardrius dubius Scopoli, 1786