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  • 101
    observations

  • 14
    communes

  • 28
    observateurs
    1
    organisme

  • Première observation
    1986

  • Dernière observation
    2023
Bagnolini Constant - Barraud Remy - Bonnet Jean - Boyer Jerome - Costes Geraldine - Deffrennes Benoit - Descamps Régis - Descaves Bruno - Descaves Sandrine - Dugueperoux Franck - Fonderflick Jocelyn - Gall Bernard - Garlenc Jean-christian - Gineste Benoit - Guillosson Jean-yves - Herault Emilien - Herrera Antoine - Jamier Myriam - Lacoste Florent - Lamarche Béatrice - Malafosse Isabelle - Malafosse Jean-pierre - Picq Hervé - Pinna Jean-louis - Quillard Valerie - Riffard Sigrid - Susong Guilhem - Tyssandier Manon
  • Parc National des Cévennes
    Participation à 101 Observations
    Part d'aide à la prospection : 100.00 %

    Fiche organisme

Informations espèce

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Estivant nicheur en Eurasie centrale tempérée, le Faucon kobez va hiverner dans le Sud du continent africain. Un contingent d’oiseaux, issu de l’Europe centrale, migre par l'ouest de la Méditerranée et 113 survole notre pays ainsi que le territoire du Parc national des Cévennes à l’occasion de son double passage. Selon les années, en fonction des aléas climatiques, la proportion d’oiseaux ainsi que la durée des haltes migratoires sont variables. Le passage prénuptial (175 données) est nettement plus marqué que le passage postnuptial (32 données) et les effectifs d’oiseaux groupés plus importants au printemps, jusqu’à 22 individus le 10 mai 2008 au Sud du Causse Méjean, qu’à l’automne où les oiseaux sont tout au plus vus par paires, 2 oiseaux ensemble le 12 août 2012 sur le même Causse Méjean. Au printemps, les tout premiers oiseaux sont notés dans la dernière décade d’avril : une femelle adulte le 22 avril 2019, sur le Causse Méjean, constitue l’observation la plus précoce. Puis c’est dans le courant de mai que le gros des effectifs passe ou stationne, selon l’abondance des grillons champêtres, une de ses proies favorites à cette saison massivement consommées les années fastes. Le passage s’étire ensuite, avec quelques retardataires, jusqu’en juin et les dates très tardives au-delà de la mi-juin, date extrême le 28 juin en 1986 et 2015, laissent parfois imaginer des velléités d’installation en reproduction mais sans suite jusqu’à présent. Le retour automnal est discret avec le passage de rares oiseaux, irrégulier d’une année à l’autre, entre les dates extrêmes du 12 août, en 2012 à Nivoliers, et le 16 septembre, en 1988 à Drigas et 2016 aux Cheyrouses sur le Causse de Sauveterre. La majorité des contacts ont lieu sur les espaces ouverts des causses, Méjean, Sauveterre et Can de l’Hospitalet. Précisons, pour cette espèce dont le plumage permet un sexage aisé, que la fréquence des mâles contactés est légèrement supérieure à celle des femelles : 51 mâles identifiées et mentionnés contre 41 femelles et, pour l’âge, 27 mentions d’adulte sont rapportées pour 8 plumages identifiés comme juvéniles ou immatures
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Pas de synonymes pour ce taxon

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