• 69
    observations

  • 22
    communes

  • 21
    observateurs
    1
    organisme

  • Première observation
    1988

  • Dernière observation
    2024
Belier Laurent - Bernardi Catherine - Broussignac Thomas - Casse Maël - Coenders Sylvie - Deffrennes Benoit - Descamps Régis - Descaves Bruno - Devevey Caroline - Dissac Yann - Fonderflick Jocelyn - Foubert Dominique - Garde Maxence - Garnier Gilles - Gineste Benoit - Herault Emilien - Kocher François - Malafosse Isabelle - Malafosse Jean-pierre - Picq Hervé - Quillard Valerie
  • Parc National des Cévennes
    Participation à 66 Observations
    Part d'aide à la prospection : 95.65 %

    Fiche organisme

Informations espèce

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Espèce cosmopolite, estivante nicheuse dans les régions tempérées de l'hémisphère Nord, la Grande Aigrette migre à la mauvaise saison vers les régions méridionales plus hospitalières où des populations sédentaires occupent tous les continents de l'hémisphère Sud. En Europe occidentale, après une forte régression à la fin du XIX ème -début du XX ème siècle, due entre autres à l’industrie de la plumasserie, l'espèce a connu une progression continue au cours des dernières décennies, suite à sa protection nationale en 1976 puis européenne à partir de populations d'oiseaux venus du delta du Danube et d'Italie notamment. Les observations sont devenues plus régulières en hiver, en Camargue, à partir des années 1970 avec des effectifs plus conséquents dans les années 1980. Et c'est en 1988, entre les 15 et 16 novembre, qu'un oiseau passe la nuit sur le Lac des Pises constituant la première donnée de cette espèce pour le Parc national des Cévennes créé en 1970. Aucune donnée dans les limites du Parc ne sont rapportées pour la décennie 1990 mais durant cette période, les contacts hivernaux se multiplient sur le Piémont Cévenol. Puis les contacts deviennent réguliers et les effectifs plus conséquents sur l'ensemble du territoire du Parc depuis les années 2010. La première donnée sur le Tarn est datée du 07 novembre 2011. La Grande Aigrette arrive en général en fin d'été pour passer l'hiver sur le territoire du Parc et repart au printemps, entre les dates extrêmes de présence des 06 septembre, en 2009 au barrage de Camboux (Sainte-Cécile-d'Andorge), au 24 avril, en 2016 sur le Gardon en aval d'Anduze. Observée le plus souvent à l'unité, quelques petits groupes sont signalés ici et là avec des maximas de 11 individus ensemble le 04 novembre 2014 à Anduze et 40 le 18 octobre 2018 au même endroit. Notons une évolution parallèle pour ce qui concerne les couples nicheurs plus au Sud, dans les habitats paludicoles du littoral méditerranéen, qui, depuis leur installation en 1996 en Camargue, n’ont cessé de s’établir ensuite en Petite Camargue gardoise pour compter 124 couples en 2015. L’origine des hivernants du Parc est donc sans doute multiple et un erratisme estival, constaté pour la première et unique fois le 16 août 2020 avec 1 individu sur la lavogne des Crottes (commune de Vébron), pourrait bien s’observer voire s’amplifier dans les années à venir sur le territoire du PNC. L'Aigrette garzette – Egretta garzetta (Linnaeus, 1766) PN DO
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Casmerodius albus (Linnaeus, 1758) | Egretta alba (Linnaeus, 1758)

Audio (1)

Ardea alba - Great Egret XC131650.ogg

CC-BY-SA-3.0 (Wikimedia Commons)
Auteur: Jonathon Jongsma

Observations par classes d'altitudes

Observations mensuelles