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- 3 observations
-
3
communes -
64
observateurs
1
organisme -
Première observation
1981 -
Dernière observation
2015
Alcaix Gérard
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Anglio Gregory
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Balsan Raphaël
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Barraud Remy
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Becquart Claire
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Benoist Georges
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Berbon Philippe
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Besnard Sylvie
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Breton
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Bussiere Jérome
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Citoleux Jacques
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Cuénin Christophe
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Debussche Max
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Delvare Gérard
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Descaves Bruno
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Destre Rémi
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Digier Marion
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Duvallet Gerard
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Fabre Jean-marie
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Feutry Sébastien
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Galouchi Rachida
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Garnier Jean
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Garrevoet Theo
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Granier Nicolas
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Guillosson Elisabeth
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Guillosson Tristan
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Guyot Emile
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Hebrard Jp
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Herault Emilien
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Jonard Aymeric
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Kocher François
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Lacroix André
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Lafon Nicolas
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Lebeau Irène
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Lemaitre Olivier
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Lemonnier Michèle
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Maldès Jean-michel
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Martin Patrice
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Meeus Guido
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Michel Bruno
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Mossot Michèle
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Nappee Christian
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Noel Pierre
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Passet Thierry
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Petermann Pierre
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Pianalto Sylvie
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Pierkot Bernard
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Pistelli Janine
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Poisson Francis
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Ponel Philippe
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Prasil Vincent
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Ravel Pascal
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Ricau Bernard
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Rousset Christian
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Saran Hervé
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Seon Jean
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Streito Jean-claude
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Szpajdel Christophe
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Talhoet Samuel
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Thelot Jean-pierre
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Timonoz T
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Torreilles Gérard
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Verdier P
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Warnotte Claude
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Parc National des Cévennes
Participation à 3 Observations
Part d'aide à la prospection : 100.00 %
Fiche organisme
Informations espèce
Non renseigné pour le moment
Le Bihoreau gris est un héron largement répandu sur tous les continents à l’exception de l'Océanie. Son
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aire de nidification en Europe est restreinte aux régions centrales et méridionales, il se reproduit dans
la moitié Sud de la France. C'est un migrateur transsaharien mais ces dernières décennies, l'espèce tend
à séjourner en hiver dans les contrées sous influence atlantique tempérée et méditerranéenne. Sur le
territoire du PNC, le Bihoreau est noté, assez régulièrement, du 07 avril, en 2012 près du Vigan, au 05
septembre, en 2010 près de Saint-Ambroix, mais sans qu'aucun indice de reproduction locale n'ait
encore été décelé. Pourtant les ripisylves des rivières du Parc, notamment en Cévennes ou dans les
gorges du Tarn et de la Jonte, constituent des habitats qui seraient tout à fait propices à sa nidification.
Déjà en 1977, le 15 juin, trois individus sont notés au bord du Tarn à Quézac (Brugière & Duval 1983).
L'espèce peut fort bien s'installer discrètement par couples isolés ici ou là dans un premier temps mais
ses mœurs crépusculaires et nocturnes rendent difficile son observation. Ce sont souvent ses cris, le soir,
qui révèlent sa présence et son passage migratoire comme le 24 août 2007 au mont Chabrio sur le
Causse de Sauveterre (commune d'Ispagnac) en migration postnuptiale ou bien cet individu retrouvé
mort le 17 mai 1981 sur la commune de Dourbies en plein cœur du massif de l'Aigoual, une mort sans
doute survenue lors de sa remontée printanière. Autre Ardéidé discret, aux mœurs nocturnes, il est
probable que des prospections acoustiques fréquentes en période de migration révèlent un passage plus
régulier qu’il n’y paraît.
Zones humides
Non renseigné pour le moment
Ardea nycticorax Linnaeus, 1758
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